Le CSeries vole à nouveau
FTV1 aura patienté deux semaines avant de pouvoir revoler. Le premier CSeries a en effet réalisé son second vol d’essai le 1er octobre, au départ des installations de Bombardier à Mirabel.
La sortie a duré 90 minutes, durant lesquelles le CSeries a atteint une altitude de 12 500 pieds (3 810m) et une vitesse de 230 nœuds (426 km/h). Il n’a donc pas encore élargi son domaine de vol.
Cependant, il ne s’agissait pas non plus d’une réplique du vol inaugural. Bombardier a en effet réalisé des essais « à valeur ajoutée » qui interviennent normalement plus tard dans le programme de certification, notamment des mesures de bruit. Celles-ci devraient servir à Porter Airlines, dont l’acquisition de douze CS100 (et dix-huit options) est conditionnée à la levée du ban sur l’utilisation des jets dans l’aéroport Billy Bishop de Toronto. Ce ban avait notamment été décrété en raison du bruit des réacteurs.
Par ailleurs, Bombardier a justifié ce délai de deux semaines entre le premier et le second vol par l’analyse détaillée de 14 000 points de données recueillis durant le vol inaugural, la reconfiguration de l’appareil et la nécessité d’effectuer de nouvelles mises à jour logicielles.
La sortie a duré 90 minutes, durant lesquelles le CSeries a atteint une altitude de 12 500 pieds (3 810m) et une vitesse de 230 nœuds (426 km/h). Il n’a donc pas encore élargi son domaine de vol.
Cependant, il ne s’agissait pas non plus d’une réplique du vol inaugural. Bombardier a en effet réalisé des essais « à valeur ajoutée » qui interviennent normalement plus tard dans le programme de certification, notamment des mesures de bruit. Celles-ci devraient servir à Porter Airlines, dont l’acquisition de douze CS100 (et dix-huit options) est conditionnée à la levée du ban sur l’utilisation des jets dans l’aéroport Billy Bishop de Toronto. Ce ban avait notamment été décrété en raison du bruit des réacteurs.
Par ailleurs, Bombardier a justifié ce délai de deux semaines entre le premier et le second vol par l’analyse détaillée de 14 000 points de données recueillis durant le vol inaugural, la reconfiguration de l’appareil et la nécessité d’effectuer de nouvelles mises à jour logicielles.
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